Thuriféraires et contempteurs s'exaltent à l'évocation de l'adaptation cinématographique du roman de Ayn RAND sous la férule inspirée de King VIDOR.
Howard ROARK, architecte novateur et visionnaire dont l'intégrité plastique ne souffre aucune compromission, prend alors les traits de l'inoubliable Gary COOPER.
"THE FOUNTAINHEAD" où peut-on encore rendre sa souveraineté à l'artiste ?